A Kinshasa, plusieurs jeunes filles ne parviennent pas à finir leurs études. Parmi les multiples raisons, on retrouve les grossesses non désirées, dues à l'absence d'une bonne éducation sexuelle. Rare sont les filles-mères qui reprennent les études après accouchement.
Faire recours aux stimulants sexuels pour prolonger la durée de l'érection est devenue monnaie courante. Nombreux sont les jeunes qui utilisent des plantes, des médicaments et/ou la boisson pour se procurer plus de plaisir. Oubliant que, cela crée une dépendance totale
Certaines femmes sont confrontées à plusieurs difficultés dans leurs ménages. L'un des problèmes auquel plusieurs épouses font face, c'est le fait que leurs époux refusent qu'elles utilisent les contraceptifs.
En République démocratique du Congo, la santé reproductive des personnes vivant avec handicap demeure préoccupante. En tant que personnes vulnérables, les hommes et les femmes handicapés peinent à accéder facilement aux méthodes contraceptives, alors qu'ils en ont totalement droit.
De nos jours, les femmes subissent plusieurs formes de violence. L'une d'elles, c'est la violence obstétricale, qui est toute forme de violence qu’une femme peut subir par le personnel médical pendant son travail. Il peut s'agir d'un abus physique, sexuel et/ou verbal.
L'un des moyens pour lutter contre les grossesses non désirées et les maladies sexuellement transmissibles, c'est l'usage des préservatifs. Cependant, l'accès aux condoms n'est pas toujours aisé pour tous les jeunes en âge de procréation et ce, pour multiples raisons.
Rosine avait réussi à se construire une carrière professionnelle et une vie sociale plutôt aisée, jusqu’à rencontrer le soit disant « homme de sa vie », qui a failli devenir l’homme de sa mort.
Les relations incestueuses détruisent la vie de plusieurs jeunes filles, et parfois au vu et su de tout le monde. Les conséquences de l'inceste ne devraient pas nous laisser indifférents. En effet, les victimes des relations incestueuses souffrent physiquement et mentalement
Plusieurs femmes en RDC décèdent de suite d'une grossesse ou d'un accouchement. Selon UNFPA, chaque jour, la RDC enregistre chaque heure au moins 4 décès de femmes de suite des accouchements ou des complications liées à la grossesse.
La majorité des femmes qui interrompent la grossesse en RDC, le font clandestinement. Pourtant, le pays a ratifié le protocole de Maputo le 14 mars 2018. Ce dernier garantit aux femmes le droit à un avortement sécurisé, notamment, en cas de viol, d’inceste ou encore si la grossesse met en danger la santé physique et mentale d'une femme.
Porter une grossesse doit être un acte délibéré, et non un accident ou encore une obligation. Selon un rapport de l’Agence des Nations Unies pour la santé sexuelle et reproductive, l’UNFPA, publié cette année, près de la moitié des grossesses dans le monde sont des grossesses non intentionnelles, soit au total 121 millions chaque année.
Nous savons tous qu’il existe plusieurs méthodes contraceptives. Entre autres, la pilule, le stérilet, l’implant, les préservatifs, la connaissance des périodes de fertilité, l'abstinence, etc. Mais généralement, qu'il s'agisse de méthode de contraception réversible ou irréversible, la contraception est souvent associée aux femmes.